

Etiologie R PTG
L’étiologie la plus fréquente de reprise dans le
groupe R PTG était le descellement aseptique
(39,5 %) (fig. 1).
Type d’implant R PTG
Lors de la première arthroplastie, le type
d’implant utilisé était le plus fréquemment de
type postéro-stabilisé (78 %), à conservation
du ligament croisé postérieur dans 15 cas, de
type hypercontraint dans 1 cas et de type char-
nière-rotatoire dans 2 cas.
Dans le groupe des patients porteurs d’un
implant de type postéro-stabilisé (n=63), il a
été mis en place un implant de même contrain-
te dans 49 cas et de type charnière-rotatoire
dans 14 cas (20,6 %). Parmi ces 49 cas, il
s’agissait d’un changement bipolaire (implant
fémoral et tibial) dans 33 cas, d’un change-
ment isolé du fémur dans 12 cas et d’un chan-
gement isolé du tibia dans 4 cas.
Lors de la reprise, il a été le plus souvent utili-
sé un implant de type postéro-stabilisé (n=61).
Parmi les 20 patients ayant été repris par une
prothèse de type charnière (25 %), 2 avaient un
implant initial de même contrainte, 3 un
implant à conservation du LCP, 14 un implant
de type postéro-stabilisé et 1 de type hyper-
contraint (fig. 2).
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es
JOURNÉES LYONNAISES DE CHIRURGIE DU GENOU
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Fig. 1 : Répartition de l’étiologie de la reprise dans la série R PTG (n=81)
Fig. 2 : Répartition du type d’implant utilisé dans la série R PTG (n=81)