ve, pour aucune des dimensions analysées.
L’étude du gain de score douleur entre les
trois mêmes groupes montrait une différence
significative uniquement pour la dimension
antéro-postérieure sur le fémur, au niveau
latéral : 35.8 ± 20 dans le groupe sous-
dimensionné, 33.7 ± 18 dans le groupe
normo-dimensionné et 23.9 ± 16 dans le
groupe sur-dimensionné (p=0,010 entre le
groupe sur-dimensionné et les deux autres)
(tableau 4).
Des “seuils” de surdimensionnement ont été
mis en évidence au-delà desquels le gain de
score douleur était significativement diminué
en postopératoire (tableau 5).
14
es
JOURNÉES LYONNAISES DE CHIRURGIE DU GENOU
198
Tableau 2 : Différence entre les dimensions pré et postopératoires au niveau du fémur.
(Valeurs négatives = prothèse plus petite que le contour osseux initial).
Tableau 3 : Différence entre les dimensions pré et postopératoires au niveau du tibia.
(Valeurs négatives = prothèse plus petite que le contour osseux initial).
Tableau 4 : Gain moyen du score douleur. Pour chaque dimension étudiée, le gain moyen est
calculé dans trois groupes : dimension augmentée de plus de 1 mm en postopératoire (over-
sized), diminuée de plus de 1 mm en postopératoire (Undersized) ou inchangée (dans la
fourchette ± 1 mm). Les comparaisons ont été réalisées entre les deux groupes surdimen-
sionnés versus sous dimensionnés (test de Student).